lundi, octobre 29, 2007

Pierre Schaeffer

Pierre Schaeffer ou le capitaine Nemo de l'aventure concrète l
par Sylvie Dallet, un bel article à
lire ...

éthique et méthode :

”J'ai été accusé d'empirisme, de bricolage. Je revendique - plus encore que la création d'œuvres novatrices - le droit d'expérimenter en musique, tout comme on fait en sciences. (...) J'estime avoir mis à l'épreuve, dans le champ très particulier de la recherche musicale, une méthode adéquate, susceptible d'être généralisée à l'ensemble des recherches sur l'homme. (...) L'Art, c'est l'homme, à l'homme décrit, dans le langage des choses.


“On a bien le droit de rêver à l'introuvable lorsqu'on garde tout son bon sens. Le compositeur pourra demander à la machine : Qu'est ce que la musique ? et la machine lui répondra par une liste d'exemples sans fin ; mais il faut un compositeur pour poser la question, personne d'autre ne le fera à sa place. Ce qui le surprendrait bien, c'est qu'un jour la machine réponde “C'est ceci” et s'arrête.”

“L'art est un symptôme. (...) Au-delà du divan, il y a la rue et la cité.

À vous de jouer”.


altosplanos entrevista o Maestro Soares Brandão PARTE 2




II PARTiE

PD : Maestro Soares Brandão a parlé de l´ímportance de la diversité culturelle dans la construction de sa musique


OH : J´aime bien utiliser des exemples.
La musique est toujours liée à la religiosité : dans la musique classique europèenne il y a les cathédrales médiévales, la polyphonie, toujours liés à la religiosité. Ultérieurment , avec le cartésianisme, la musique a commencé a se séparer de la réligion. Dans les cultures d´origine africaine la musique, la samba, a surgi des réligions du camdonblé. Le battement de la samba est lié au battement de l´exu (orixá). Observez une cérémonie réligieuse catholique: dans une cathédrale le plain-chant, arrêté ,comptemplatif, l´esprit est toujours loin, il observe la matière. Dans le candomblé le saint baise et dans les musiques nègres l´esprit et la matière font partie de la même chose, ils se parlent et sont toujours liés l´un à l´autre . Ce sont des différents énergies, divers manières de faire. C´est pas la question de jouer fort ou piano, lentement ou rapide. Ecoutez la samba : la batterie qui fait l´énergie, joue beaucoup plus que la mélodie. C´est toujours comme ça. Même en Afrique, quand ils font la melodie et après vient l´harmonie.

Un autre exemple (3 :16’)
Quelle est cette musique ? jouée comme un musicien de percussion.
C´est une énergie culturelle, vient de la première enfance, c´est notre musique et je la joue comme musicien de percussion, avec chaleur.

Comment est-il possible de faire ça ? j´ajoute les fondements de la musique classique à la musique africaine percurssive et je fais une interaction entre les deux, ce que l´anthropologue Darcy Ribeiro a appellé la culture mulata. Le principe des mes exercices journaliers au piano, je joue Bach comme exercice, mais avant je batuque dans le bois du piano(4 :50’). Le geste de la percussion avec tous les doits, pour ensuite mettre ces touches dans le clavier, mettre les notes et voir comment ça sonne. Il paraìt que ça change, mais si vous observez bien il ne change pas.

Donc (5:45): Geste de la percussion, geste de l´articulation qui produit l'interaction des deux. C´est pas moi qui a crée ce mode de faire de la musique, c´est notre culture. Je suis à peine un personnage, je suis un acteur de cette chose. Je ne suis ni le directeur, ni le créateur. J´étais supris avec le Qwartz, un prix d´originalité, parce que pour moi c´est naturel faire la musique comme ça. Malheureusement notre musique de concert est faie à la europeènne. Je ne critique pas notre grand pianiste Nelson Freire, il est un excellent pianiste européen, restaurateur de la culture classique , c´est la diversité qui mérite l´appui, mais il est europpéen. Il ne represent pas notre manière de faire de la musique. Je n´ai pas dialogué avec lui, avec cet manière de faire la musique. J´ai passé cinq annés à Mangueira en parlant avec les percussionistes. Ils ne sont pas des musiciens professionels, ils ont d´autres activités pour garantir leur survie. C'est different pour moi, j´ai de la chance de pouvoir m'exercer , de me dédier tout la journeé au piano. Par exemple : comment fait Federer, le joueur de tenins, qui a du talent, mais s´il ne s´exercite pas il n´aura pas une haute performance. Malheureseument au Brésil on ne stimule pas notre culture de haute performance. Mon but à Mangueira était faire une batterie de haute performance.
A Rio je suis allé à Viva Rio, institution qu´ appuie des projets socio-musicales, avec une bande demo, et ils m´ont repondu que les impresarios n´aiment pas cet manière de faire la musique, parce q´ils veulent qu´on joue comme les européens- jouer Bach, Beethoven comme l´Orchestre du Cariri joue la Neuvième Symphonie de Beethoven.. Dans notre musique de concert nous sommes toujours colonisés. Cette attitude nous condamne a rester colonisés et a ne pas montrer notre diversitée culturelle.

Max 5.0


Fin septembre David Zicarelli commence à décrire sur le site de cycling 74
toute une série de métamorphose qui vont transformer le logiciel Max Msp pour les 20 prochaines années à venir. MAX 5.0 sera aussi différent d'après Zicarelli, que fût pour Apple le passage du Système 9 vers le système OSX ... C'est dire !
Le nouveau développement de Max va emmener une programamtion datant des années 90 vers les possibilités plus contemporaines. Plus facile à utiliser, plus facile a prendre en main, plus facile à manipuler. Max a été complètement repensé. Max 5 .0 sortira dans le courant du premier trimestre 2008. David Zicarelli va poster régulièrement des articles sur le site de Cycling, pour que le public puisse découvrir au fur et a mesures les nouveautés de Max 5.0 ....

Preview des nouvelles fonctions ici.

vendredi, octobre 26, 2007

Protools de Poche la Mbox 2 Micro !


Digidesign dévoile la nouvelle Mbox 2 Micro !

Daly City, Etats-Unis (26 octobre 2007) — Digidesign a aujourd’hui dévoilé le nouveau membre de sa famille primée Mbox® 2 : Mbox® 2 Micro, un système Pro Tools LE® de poche qui apporte aux utilisateurs de Pro Tools® une solution ultra-portable de séquence, d’édition et de mixage. De la taille d’une clé USB, Mbox 2 Micro combine une sortie audio stéréo/un monitoring de haute qualité avec la puissance du logiciel Pro Tools LE, permettant aux utilisateurs de Pro Tools d’éditer et de mixer facilement partout où ils le désirent des sessions enregistrées en studio ou en live provenant de systèmes Pro Tools|HD®, Pro Tools LE ou Pro Tools M-Powered™, ou de créer dans Pro Tools LE des morceaux à base de boucles et d’instruments virtuels.

Mbox® 2 Micro est dotée d’un élégant et robuste boîtier en aluminium anodisé, conçu pour voyager. Sa sortie stéréo mini-jack offre une résolution en lecture allant jusqu’à 24 bits/48 kHz, pour une écoute de haute qualité. Une bien pratique molette de volume permet un réglage rapide du niveau casque. Mbox 2 Micro est livrée avec le logiciel primé Pro Tools LE, une collection de plus de 45 plug-ins d’effet Bomb Factory® et DigiRack™, la workstation à synthèse/lecture d’échantillons Digidesign® Xpand !™.

jeudi, octobre 25, 2007

Motus fête Pierre Henry !

Electroscopie n'est pas mort et Motus fête Pierre Henry !
Voir tout le trucmuche chez Patrick W.

"quand l'art se mélange dans Second Life..."

concert de Wildo Hofmann
aka Christine Webster
et exposition de sculptures de Frao Ra

le vendredi 26 octobre sur Libertalia à 22h (Paris), 13h SL time
toutes les infos sur sonicmetaverse
A demain

mardi, octobre 23, 2007

Luc Ferrari au Palais des Beaux-Arts


Mercredi 24 octobre, à 20h00, au Palais des Beaux-Arts, à Bruxelles.
Projection de 3 films autour de Luc Ferrari.



Le nôtre ouvrira le bal : Luc Ferrari face à sa tautologie (52'). L'image ci-dessus en provient et en appuie la publicité !

Il sera suivi d'une bizarrerie doublée d'une vieillerie, Egypte ô Egypte, dont Luc avait fait la musique, à l'époque (30');

C'est un film japonais qui fermera la danse : Portrait d'un réaliste abstrait, que Luc qualifiait lui-même de "très étrange" (46') .

Détails pratiques ici

dimanche, octobre 21, 2007

Placard headphone festival Paris 14eme

le placard festival pour casques → 2007 → Placardée l'agence XP

départ à
19:00 26/Oct/2007 (CEST)
fin
18:00 28/Oct/2007 (CET)

ce placard est ouvert aux inscriptions!
inscrivez vous pour jouer ici
see full details

altosplanos entrevista o Maestro Soares Brandão PARTE 1



Première partie d'un entretien en Brésilien avec Maestro Soares Brandão.Ce document est unique et permet de comprendre in vivo comment le Maestro travaille et fait surgir cette énergie incroyable qui caractérise tout son jeu pianistique. L'influence des structures rythmiques Brésiliennes y est prépondérante ainsi qu'une approche kinesthésique tout à fait particulière (mouvements des poignets et des bras beaucoup plus déliés et souples, abandon de la rigidité du corps du piano classique, etc. C'est un régal.
Sa femme Ibis a eu la gentillesse de traduire le film en Français, et je l'en remercie.

Je poserai chaque semaine un des 4 épisodes sur le blog.


I PARTIE

Pedro Diniz (PD):Présent Soares Brandão )0:00’ – 1:20

Le 23 mars de cet année à Paris le compositeur/pianiste Otavio Henrique Soiares Brandão a reçu un prix important – Prix d´Honneur Pierre Schaeffer 2007- atribué aux musiciens qui ont vraiment contribués à l´inovation musicale au monde. Soares Brandão est le premier et unique musicien jusqu'à maintenant aux Amériques a avoir reçu cette distinction relaye la Préfecture de Paris et le journal Le Monde parmi tant d´autres. Dans la catégorie chant Björk a également reçu le qwartz dans la même soirée. Pour 2008 un des nominés à reçevoir le même trophée des mains d´Alexandre Grauer fût le musicien nord américain Phillip Glass

Aujourd´hui dans le programme Courts, Moyens et Longs vous pourrez faire une incursion au royaume énigmatique de l´originalité de ce maestro pour savoir pourquoi ils lui ont confié ce prix précieux.


OH: 1:23’ – 1:54’

Mon nom est Otavio Henrique Soares Brandão. Je vais essayer de faire maitenant une chose très compliquée : parler sur la musique. Si la musique pouvait être parlé, elle n´exiterait pas, on parlerait à peine sur elle. En réalité je ferai ce que je trouve le plus intéressant : je jouerai un peu et puis je ferais un comentaire sur mon jeux.

OH joue le piano – 1:55’ - 3 :35

OH - 3 :45

Je ferai un petit commentaire sur mon jeu, consideré comme différent, mais qui à vrai dire est l´expression d´une culture à lequelle j´appartiens. Vous avez observé que, dans la manière dont je joue le piano, il y a beaucoup d´articulations des bras, des poignets, qui n´existent pas dans le piano classique. Pourquoi ? Parce que nous savons que notre culture est, influencée par la musique nègre, avec un fort appel rythmique, qui est la musique de percussion . Si on prend la musique nègre à son origine en Afrique, elle est un chant accompagné de percussion. Même les instruments qui ont la mélodie , comme le balafon , sont percusifs, ils cherchent les rythmes, cherchant ce qui nous appelons le swing et que les américains aussi appellent swing, ça veut dire le jazz, le rock, l´influence de la musique nègre américaine dans le États Unis.

Le geste de la percussion, l´articulation des poignets. Cette gestualité des bras donne une varieté d´attaque, d'amplitude, d'intensité du toucher. C´est plus facile pour arriver a faire de la pecussion (Il joue). Je vous donne un exemple : jouer le Brasileirinho bien percursif, bien favela, bien nègre. Ecoutez ! (OH joue) ;6 :31’

Vous voyez, il existe l´articulation des bras, des poignets qui viennent de la percussion, et auquels s´ajoute le doigté classique. Je ne joue ça que si je le prendre comme fondements. Un pianiste classique n´arrive pas a jouer comme je fais (il démontre sa technique tapant le bois , et les touches du pianos ensuite). La percussion exige une gestualité particulière de toucher et d´intensité, qui lèvent les bras. Bien sûr que l´énergie vient ensemble. J´ai constaté ça dans mon expérience, où j´était longtemps responsable pour la formation des musiciens de la batterie de l´Ecole de Samba de Mangueira(Rio de janeiro). Un jour j´était en train de répéter, avec des garçons agée de dix ans et il est arrivé un groupe de touriste, si je me souvient bien, de Norvège. Pendant que les garçons jouait ils étions complètement troublés par l´énergie qui sortait de la musique. C´est une énergie culturelle. On joue comme ça au Brésil. Il y a gens qui n´osent pas dire que Antonio Carlos Jobim a fait de la samba d´appartement : « Dans la zone sud de Rio de Janeiro ils ne supportent pas ces gros bruits qu´on fait ici ».

Otavio donne l´exemple d´une répétition à l´ecole de samba et le surgissement d´une énergie folle, au fûr et à mesure que les percussionistes augmentaient leurs rythmes : la batterie, dans un répétition, commence par l´hymne officiel de l´école. La seconde partie la batterie entre et immédiatement les morts réssucitent, c´est de la folie, l´energie qui sort. Á l´occasion de mon concert à Paris, les gens deviennent fous ; après le concert ils m´ont demandé, qu'est ce qu c´est cette énergie, d´où vient-elle ? Au Brésil c´est comme ça qu´on fait de la musique. Ce n´est pas seulement au Brésil. Voyez le rock. D`oú vient l´énergie du rock ? De la musique d´origine africaine.C´est une énergie qui vient de la musique nègre, spécifique, qui est différente du menuet (Beethoven,Bach). Le rock a dominé le monde à un tel point que les ensembles comme les Rolling Stones, The Who sont les blancs jouant comme des nègres. Ça n´existait pas avant, ç'est apparu au commencement du Xxème siècle avec les jazzmen.

mercredi, octobre 17, 2007

Concert sur Second Life















Mon prochain concert-stream sur Second Life vendredi prochain le 19 octobre
après une conférence sur l'espace Bourdieu de SL.
Tous les renseignements ici sur Sonicmetaverse

CORBEAU


Chorégraphie Myriam Gourfink
Danse Gwenaëlle Vauthier

Musique live (Tams électroniques)
Kasper T Toeplitz

du 15 au 19 octobre 2007
au
CND (Centre National de la Danse), à Pantin
à 19h

Réservations
Du lundi au vendredi, de 10h à 19h
T 01 41 83 98 98 / reservation@cnd.fr

http://www.cnd.fr/saison/spectaclescnd/saison-07-08/corbeau-1

--

http://www.sleazeArt.com

http://www.myspace.com/sleazeart

Simone écoute ses disques ...

dimanche, octobre 07, 2007

Tapage Nocturne - Tokyo Ohayo















Mardi 9 Octobre je suis invité sur Tapage nocturne chez Bruno Letord pour une 4ème résidence. Cette fois-ci le thème sera la ville imaginaire. J'ai choisi Tokyo. Un voyage intérieur narcotique entre décalage horaire et perception sensorielles spatio temporelles dégradées ...

Tapage Nocturne mardi 9 Octobre 0h- Oh5O
l'émission reste ne ligne toute la semaine ...

Abus de langage











... découvrir le travail de David Christoffel par ici et surtout son lumineux "discours de chiottes"

David Christoffel :: Discours de chiottes
Diffusés à l'occasion du festival Gare aux Oreilles, dans les WCs du festival.

Parler encore et se dire : C'est jouer l'homme ivre, titubant, qui, de fil en aiguille, prend sa bougie pour lui-même, la souffle, et criant de peur, à la fin, se prend pour la nuit. Bataille

et dans un même élan voir ou revoir et comprendre ceci

Language is a Virus, 1986, 8’, vidéo clip


“Le langage est un virus venu de l’espace”, une citation de William S. Burroughs que Laurie Anderson accompagne d’une image-puzzle sur un rythme rock, comme parodie des théories du langage “C’est étrange pour un écrivain de dire que le langage est une maladie qui se transmet par la bouche. Cela me fait penser à la pensée bouddhiste qui considère qu’il y a la chose et le nom pour la chose et que ce nom est une chose de trop. Parce que souvent lorsque l’on dit un mot, on pense qu’on le comprend, mais en fait ce que l’on fait vraiment se résume à prononcer ce mot, sans nécessairement en comprendre le sens”














samedi, octobre 06, 2007

Ce soir nuit blanche !






















Cliquez sur l'affiche pour avoir le programme de la chaufferie ...

Sinon pour les retardataires et les insomniaques :

Nuit Blanche 2007 c'est aussi :

Un bruit qui court ...

Programme Nuit Blanche – 6 octobre 2007
Nuit du 6 au 7 octobre 2007, Paris, de la Gare Saint-Lazare à la Cinémathèque Française
Les acteurs de la musique contemporaine en Ile-de-France rassemblés autour du collectif « Futurs Composés » participent à la Nuit Blanche 2007. C’est l’occasion de témoigner avec force autour de la musique de création en rappelant qu’elle fait partie de l’art contemporain !
www.paris.fr/portail/Culture/Portal.lut?page_id=7904

Flamme sonore
20h Gare Saint Lazare -> 23h Cinémathèque

Diffusion :

André Serre-Milan : Musica Para Niños
Frédéric Kahn : Humeurs changeantes et idées noires, L’Animal du temps
Gilles Racot : Chronomorphose
Marie Hélène Bernard : Mousson
Sébastien Béranger : Schizo à 120, Le complexe de la goutte d’eau, Jingle Futurs Composés
TM+ : Concerto pour violon de Bernard Cavanna
Jean Pierre Toullier : Date nobis cochas nostras
Michel Karsky : Orgueil
Patrick Lenfant : Le tour du monde en 80 sons

Concerts :

Place des Victoires, Cie Bouche d’Or (Caroline Gautier): Le chic urbain
Place du Chatelet, Pala : The right men, Arizona
Place des Vosges, Joseph Grau : Dream-elle
Carrefour Cnam, Serge Adam : White Night
Eglise Saint Paul , Ensemble Diagonal : Senderos que bifurcan (extraits) de Luis Naòn
Place des Vosges, Arcal / Le pont des Microludes : Tâdj de Christian Lauba, Sonate pour violoncelle seul de György Ligeti


Cinémathèque Française
23h-4h

23h00 : Etudiants du CFMI, Apollo 13, d’Antony Lerat
23h20 : Improvisation : Nicolas Vérin, Philippe Cornus, Catherine Brisset, Arnaud Crozatier
23h30 : Improvisation : Françoise Toullec, Tania Pividori
23h45 : Kiosk (Valérie Philippin, Ludovic Montet), Récitations, de Georges Aperghis
23h55 : Octuor de violoncelles, Battements, de Graciane Finzi
00h00 : Mirtha Pozzi, Pablo Cueco, Etienne Bultingaire, Improvisations préméditées
00h10 : Ensemble Fa 7
00h15 : Improvisation, Anthony Lerat, Chantal Dayan, Michael Correia, Joseph Grau
00h25 : Kasper Toeplitz : Purr#1
00h30 : Ensemble 2E2M, Lieders, de Schubert arr. B. Cavanna
00h45 : Collectif, Ryoanji, de John Cage
01h05 : Ensemble Laborintus, improvisation
01h15 : Les Phonogénistes, improvisation sur film de Man Ray
01h35 : Wim Hoogewerf, La ritournelle et le galop, de Pascale Criton
01h45 : Improvisation, Pascal Contet, Catherine Brisset, Thibault Walter, Hélène Breschand
02h00 : Anne Périssé, Muwatalli de François-Bernard Mâche
02h10 : Philippe Cornus, improvisation
02h20 : Thibault Walter, improvisation
02h35 : Improvisation collective ouverte
02h45 : Bérangère Maximin, Ce corps vil
03h05 : André Serre-Milan, Matière Solaire
03h20 : Frédéric Kahn, (L’Exploration du vide) x (Puppet Me !)
03h30 : Jean-Marc Chouvel, Métamorphose de l’instant
Le piano est aimablement prêté par Pierre Malbos